POP UP du 2 février au 24 février 2018
L’ exposition POP UP « Outremer » d’Andrea Knecht est une série de natures mortes dessinées en 2018 sur le Financial Times et détourées à la gouache bleue électrique. teteknecht.com
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POP UP du 2 février au 24 février 2018
L’ exposition POP UP « Outremer » d’Andrea Knecht est une série de natures mortes dessinées en 2018 sur le Financial Times et détourées à la gouache bleue électrique. teteknecht.com
Partagez:Vernissage le jeudi 23 novembre 18h. Exposition du 24 novembre au 16 décembre 2017
Tantôt des parallélépipèdes glissent le long d’un même chemin de lignes formant un double sept. Tantôt un cube arbore des excroissances anguleuses. En majesté, chaque forme en contient d’autres qui s’imposent au regard avec simplicité et méthode. L’artiste s’inscrit dans la lignée des créateurs qui ordonnent l’espace en évoquant les règles qui régissent le monde, celles de la géométrie et des mathématiques. L’environnement tout entier peut alors se décliner à travers des formes conceptuelles. Ainsi, celles de Silvia Velázquez entraînent l’observateur aux confins de l’abstraction et des symboles. Les objets travaillés à l’encre et au feutre portent la rigueur des esquisses numériques qui les précèdent et la maîtrise parfaite de la main qui les engendre. D’abord combinaison de 0 et de 1, ils se multiplient, se décalent, s’associent et prennent vie en un jeu d’angles, de lignes et de couleurs. Une vie concentrée, ramassée, dans une géométrie sensible. Marie-Laure Desjardins, ArtsHebdoMédias
Cette exposition est accompagnée de la 56ème Action contemporaine de la FLAC en vente au prix de 200.-
Heures d’ouverture: Ve-Sa 16h00 – 18h00 et sur rendez-vous via abstract@worldonline.ch.
Partagez:Vernissage le jeudi 5 octobre 18h. Exposition du 6 octobre au 28 octobre 2017
Dans le cadre de l’inauguration de ses nouveaux locaux à la rue des Côtes-de-Montbenon, l’espace abstract a l’honneur et la joie d’accueillir la photographe plasticienne Catherine Leutenegger.
Pour cette exposition individuelle «carte blanche» intitulée SHI(F)T HAPPENS, l’artiste propose un dialogue entre travaux récents et antérieurs avec pour dénominateur commun des thèmes récurrents: l’inéluctable et la vanité. Entre photographies monumentales de bâtiments produits en Chine au moyen d’une gigantesque imprimante 3D, un cabinet de curiosité regroupant des natures-mortes aberrantes issues de cette même technologie, un post Facebook transfiguré en visuel abstrait sur un caisson lumineux, un autoportrait en figurine isolée sur un socle, une série troublante de poupées ultra-réalistes et une installation vidéo dépeignant la désintégration de l’empire Kodak; Catherine Leutenegger s’ouvre sur un pratique résolument pluridisciplinaire en jouant sur la transversalité, le rapport d’échelle, la spatialité et l’ambiguïté des formes.
Avec une posture d’archéologue et d’anthropologue, elle soulève de nouvelles réflexions sur l’omniprésence numérique, la matérialisation du virtuel qui inaugure une reformulation de notre expérience de la réalité parallèlement à une tendance générale s’orientant vers la dématérialisation.
Heures d’ouverture: Ve-Sa 16h00 – 18h00 et sur rendez-vous sur abstract@worldonline.ch
Partagez:abstract est impatient de vous retrouver dès le 5 octobre dans son nouveau lieu, Côtes-de Montbenon 3 pour le vernissage de l’exposition « SHI(F)T HAPPENS » de Catherine Leutenegger.
Partagez:Le salon sera présent sur le stand de l’espace abstract à la 7ème édition de la Nuit des images. L’ édition spéciale et gratuite de l’exposition « I was a galactic wienerli » du Le Salon sera également à disposition au Nonante-Neuf dans les anciennes Halles SNCF LUMA Arles durant Les Rencontres d’Arles 2017.
Partagez:Vernissage le vendredi 9 juin 18h. Exposition du 10 juin au 1er juillet 2017
Sous le signe de l’hétérogénéité, le collectif le Salon propose une immersion dans le monde invraisemblable du wienerli galactic. Les 16 photographes réunis spécialement pour cette thématique, invitent à un voyage inédit autour de la saucisse interstellaire. Aussi bien philosophique, sociologique, scientifique, onirique, psychédélique, le wienerli se métamorphose jusqu’à en être libéré de son état d’aliment populaire.
Regroupés sous le nom du Salon, Pauline Aellen, Charles Frôté et Aso Mohammadi forment la partie visible d’un collectif photographique informel fondé en 2014 qui prône la diversité photographique en réunissant de jeunes photographes d’horizons différents.
Cette exposition est accompagnée de la 52ème Action contemporaine de la FLAC en vente au prix de 200.- Heures d’ouverture: Ve-Sa 16h00 – 18h00 et sur rendez-vous via abstract@worldonline.ch.
Vernissage le jeudi 27 avril 18h00. Exposition du 28 avril au 20 mai 2017
Le titre même de l’ensemble du Display fait évidemment référence à une vision analogique de la réalité à l’ère de sa virtualisation. Plutôt que d’immerger le spectateur dans un espace-temps simulé, ce dispositif de «vision diminuée» modifie par ses filtres optiques le monde qui nous entoure et nous permet d’appréhender autrement l’objet que nous visons. Si cette mise à distance ne se veut pas moralisatrice, l’attraction paradoxale, chère au cinéaste d’avant-garde Sergueï Eisenstein, qu’elle induit par l’usage d’effets visuels suscite peut-être, entre l’attirance et le doute scopique, une prise de conscience de notre environnement d’une façon qui n’est pas sans rappeler celle de John Nada (Roddy Piper) dans le film Invasion Los Angels (1988) de John Carpenter. Par ailleurs, ce projet fait bien entendu écho à la problématique des armes et aux stratégies de pouvoir qui tiennent une place dans l’histoire de l’art contemporain, chez des artistes comme Niki de Saint Phalle ou Chris Burden, mais aussi au sein d’une actualité socio-politique plus sérieuse que divertissante.
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