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Peindre des éléments à priori hétéroclites sur des toiles. Il utilise des pinceaux et d’autres outils pour étaler la peinture. Certaines sont peintes selon un protocole; 1 motifs au scotch, 2 fonds, 3 sprays et la plupart des peintures sont faites de manière plus intuitive. Le geste est rapide et le processus très lent et il préfère recouvrir quand ça ne va pas trop. Et de temps en temps s’essaie à la figuration.
Partagez:La démarche d’Yves Lappert est essentiellement basée sur le caractère éphémère de l’existence des objets et des êtres. Pour ce faire, il assemble des éléments de sorte qu’ils s’appuient ou reposent les uns contre les autres. Ne fixant jamais rien, Yves Lappert défait son travail à dessein pour le reconstituer ailleurs, différemment. L’archivage de son travail se fait à l’aide de son smartphone afin de garder une trace de leur existence passée. la photographie tient alors lieu de mémoire et de médium lors d’expositions.
Partagez:Après Caroline Tschumi en 2020, abstract accueille en résidence, cet été, le duo Dextroyante. avec le projet Zapp Uurimine Spioon. Ce nom regroupe deux artistes, Stéphane Winter (1974) et Chloé Geinoz (1998). Colocataires depuis 2018, le duo travaille régulièrement l’un pour l’autre pour leurs projets personnels. ZAPP UURIMINE SPIOON est le fruit de leur première réelle collaboration artistique sous forme de résidence à l’espace abstract.
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Le prénom Alain a connu son pic de popularité dans les années 50 selon wikipedia. Alain, c’est aussi le prénom du responsable d’abstract. Peut-être connaissez-vous Alain plus que moi. J’ai rencontré Alain une première fois suite à une invitation à présenter mon travail. Je lui ai parlé d’une idée. Il était enthousiaste. Ce n’est pas l’idée que vous êtes en train de regarder. Sophie Yerly
Partagez:Du 16 janvier au 6 mars 2021
abstract réouvre avec les mesures liées à la pandémie dès le 1er mars avec un vernissage du livre Hong Kong Néon le vendredi 5 mars de 16h à 18h et le samedi 6 mars de 14h à 18h en présence de l’artiste.
Le projet HONG KONG NEON du photographe Pascal Greco rend hommage à cet héritage visuel, au design, à la typographie des enseignes néon, aux gens qui les ont créées et façonnées ainsi qu’à cette ville de Hong Kong, dont l’identité s’effrite peu à peu. Les néons sont, en effet, comme un habit de lumière, une vitrine éblouissante, le reflet d’une société capitaliste qui dissimule une toute autre réalité. À leur ombre se cache une grande misère sociale pour le moins désolante.
Une publication aux éditions Infolio et Mccm Creations accompagne cette exposition.
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